Que dit la presse ? | author
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La série Victoire et Albert Montfort

Ce qu'en dit la presse

1803, La nuit de la sage-femme

Le Monde Histoire et Civilisations

Victoire et son mari forment un duo de choc pour résoudre cette énigme au terme d'un scénario riche en rebondissements.Comme dans ses opus précédents, Anne Villemin-Sicherman brosse à petites touches un contexte historique précis et documenté, qui nous plonge au cœur d'une France qui se relève difficilement de l'épisode révolutionnaire, et met en scène des Français avide de retour à l'ordre.

C. L'Hoër

NAPOLEON.org

Une sorte de duo Holmes/Watson inversé, où le docteur est parfois bien plus fin que son époux, sans qu’il démérite, loin de là, pour autant. L’auteur nous mène dans une ville (Metz) où l’on a l’impression d’entendre vraiment Madame de Staël, dont le rôle n’est pas trop exacerbé tout comme le côté « cadavre à la pelle », loin s’en faut. C’est une ambiance sociale qu’on retiendra au-delà de l’originalité du choix de l’héroïne. Un pari vraiment réussi. (M. de Bruchard, web éditrice à la Fondation Napoléon)

Historia magazine

Dans cette nouvelle série, les femmes prennent la lumière, imposant leur travail, leur intelligence et leur instinct dans une société où se tament maints complots. I. Mity

Le Dauphiné libéré

Un roman érudit où se croisent, avec talent, personnalités historiques et personnages de fiction.

La série Augustin Duroch

Ce qu'en dit la presse

A propos de la série des enquêtes d'Augustin Duroch

Metz au miroir des écrivains

Ce livre remarquablement documenté évoque avec grande précision la topographie de Metz à la fin de l'Ancien Régime. Surtout l'art du vétérinaire, où une science moderne tente de prendre la place des superstitions.

C'est aussi la vie messine colorée qui est mise en scène, avec ses cafés, ses places animées, ses marchés en plein air...

On croirait une chronique d'un contemporain "des choses vues" tant l'impression de vérité est frappante. G. Nauroy

LA SEMAINE VETERINAIRE

La série met joliment à l'honneur la profession de vétérinaire en confiant ses intrigues à un praticien diplomé de la toute première promotion de l' école vétérinaire de Lyon fondée en 1762. (...) Cette œuvre romanesque imposante  reconstituent au présent le XVIIIe siècle avec une convaincante ressemblance et de réels personnages historiques. A sa grande intimité avec le sècle des Lumières et le raffinement de sa langue, la romancière combine une écriture précise et une rare accointance avec le métier de vétérinaire qu'elle décrit parfaitement. M. Bertrou

L'abbé Grégoire s'en mêle

Historia
Le 1er des magazines d'histoire

 

" La grande force de cette série très documentée et élégamment écrite est son ancrage, non pas parisien, pour une fois, mais lorrain. Ici, par le truchement d'une éminente personnalité locale, l'abbé Grégoire, grande figure de la lutte pour l'émancipation des Juifs, c'est tout l'esprit des Lumières qui infuse l'intrigue. " 

Très beau roman gorgé de l'esprit des Lumières qui parvient à tenir la distance sur plus de 500 pages ans jamais lasser tant la langue est fine et élégante, et l'intrigue subtilement déroulée.

I. Mity

 

Nouvelle Revue Lorraine, n°50, 2019.

Cette enquête lorraine, menée tambour battant, nous rappelle celles de Nicolas Le Floch, célèbre commissaire aux affaires extraordinaires de Louis XV et Louis XVI mis en scène par le regretté JF Parot... Raison de plus pour lire ce roman aux multiples péripéties et fort bien écrit.

La Semaine N°431.

"Le regard à la fois documenté et aimant d'Anne Villemin-Sicherman sur l'histoire comme sur les hommes, sa juste dose de fantaisie et de talent lui permettent de nous livrer au fil des années des ouvrages qui nous distraient mais nous construisent aussi. L'abbé Grégoire s'en mêle,  cinquième volume de sa série "un artiste vétérinaire au siècle des Lumières", vient de sortir chez La Valette. Au fil des jours du printemps 1787 et dans un style aéré où la vie et l'échange tiennent leur pleine place, l'intrigue se noue avant que nous ne retrouvions, un an plus tard, pour la séance solennelle de la Société royale de Metz."  Jean-Pierre Jager,

A propos de la série des enquêtes d'Augustin Duroch
 

" Tous ceux qui ont lu les différentes aventures d’Augustin Duroch à ce jour publiées sont restés sous le charme d’intrigues « haletantes » –comme la presse aime à le dire—associées à une écriture vive et élégante. Mais la démarche créatrice de l’auteur ne se contente pas de satisfaire le divertissement de son lecteur. En effet, une autre quête se poursuit sous l’enquête policière : celle de la re-découverte d’un territoire enfoui, masqué mais pas aboli, sous le territoire de la ville de Metz d’aujourd’hui. Et ce faisant, accompagnant cette re-découverte territoriale,  réapparaissent les traces comme floutées d’une société ancienne, encore sensibles elles aussi, et avec elles, tout ce qu’elles peuvent dire, à l’auteur sur son moi comme au lecteur sur son présent. Ce fut la démarche même de Marguerite Yourcenar dans son triptyque autobiographique. "  Françoise Alexandre, Université de Lorraine. 

Guet-apens rue des Juifs

Le Républicain Lorrain

"Ce roman entouré de mystères est aussi un voyage dans le passé lorrain, dans ces années qui précédèrent la Révolution française. Moments riches où bouillonnaient les idées du XVIIIe siècle."

"Actualités juives

Le héros nous entraîne dans un suspens qui ne faiblit pas. Une plume extraordinaire pour un roman historique qui vous tient en haleine.,


"Les personnages peuplant le roman ? Extraordinairement variés de par leurs rôles sociaux, leurs emplois, leurs mentalités, et leurs psychologies (on en apprend beaucoup sur certains psychotypes…toujours présents de nos jours !), donnant lieu à des portraits remarquables et inoubliables.
Et sur « l’art vétérinaire » de l’époque ou actuel : impossible, après cette lecture, de regarder un cheval de la même façon qu’avant ; même en ayant fréquenté des écuries durant des années. Une particularité réelle de l’ouvrage !
"
"Hélène Guilhot, musicologue

L'argent des farines

" Du suspens de bout en bout... Augustin est sympathique et on suit ses aventures avec plaisir. " JC -C. Le Pays lorrain.

Le Républicain lorrain

" Ce deuxième ouvrage étudie de manière approfondie la psychologie des personnages, et débouche sur de surprenantes révélations. Il tient en haleine le lecteur du début jusqu'à la fin."

Un bûcher pour Versailles

" Les Cahiers Lorrains " J-B Lang

On savourera la plume enjouée qui nous conte les embarras de Paris comme un second Boileau, les descriptions minutieuses des vêtements que l’on porte à la Cour, la décoration ornant les appartements des courtisans et les somptueux repas et buffets qui feront venir l’eau à la bouche des gourmets. Le tout est entrecoupé d’expressions aujourd’hui désuètes, mais qui plongent le lecteur dans une ambiance historique très convaincante.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le roman historique est un genre difficile. Reste-t-on trop près de l’Histoire que l’on lasse, s’en écarte-t-on trop et l’on prend le risque de l’invraisemblance. Il y a un délicat équilibre à trouver ; il semble que madame Villemin Sicherman l’ait acquis.


 

Retour à Varennes , 1791

Augustin Duroch, déjà chargé d'élucider lemeurtre d'un capitaine mêlé au projet de fuite royale, est à nouveau aux premières loges. Le récit enlevé d'une impasse à l'ère de tous les pièges.

Historia magazine

Rumeur, 1789

Historia magazine, I. Mity

Un roman captivant qui dissèque avec finesse la genèse et la macanique du chaos par le prisme lorrain, et confirme que la lauréate du prix Historia 2019 du polar historique a du talent à revendre !

La Semaine, JP Jager

Dans cette fresque des plans larges et intimes se succèdent. Il y a aussi cette effervescence révolutionnaire rurale que l'on avait sentie à Goin et que l'on retrouve à Freistroff avec son château et son abbaye. Il y a enfin la joie de revisiter sans fin l'histoire, les lieux et les hommes.

La femme rouge, 1792

Le Monde Histoire et Civilisations

Les principaux personnages de la ville s'affrontent dans des assemblées houleuses sur le terrain des idées, mais aussi dans de sordides prisons et des tribunaux expéditifs. Comme à son habitude, Anne V-S, tout en s'appuyant sur des faits historiques réels, brosse des saynettes enlevées où le suspense et la précision documentaire fusionnent en un heureux mélange. C. L'Hoër.

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